Agenda

Les familles de détenu·e·s sont une zone grise au sein du système pénitentiaire. Elles souffrent d’un manque de considération alors qu’elles sont un vecteur essentiel de la future réinsertion des détenu·e·s. Ces familles sont confrontées à des difficultés majeures, tant économiques, psychologiques que financières.

La Ligue des familles a souhaité donner la parole à ces familles, lever un voile sur leur vie dans une sensibilisation gratuite axée sur des témoignages anonymes. Ces tranches de vie, tantôt émouvantes, tantôt éprouvantes, donnent à voir leur réalité quotidienne.

Vue de l’extérieur, la Prison Box se présente sous la forme d’un cube intrigant. Passée la porte, on y pénètre dans « l’intimité d’une famille » : un salon où sont disséminés de multiples QRcodes qui renvoient aux différents témoignages.

L’expérience de la prison se niche donc partout dans ce salon, de la même façon que la prison s’insinue à tout moment dans le quotidien et les pensées de la famille d’un détenu. Leur vie s’agence autour des visites, le sentiment d’absence est continu et les sacrifices souvent nombreux.

Visite autonome
Les visiteurs et visiteuses seront invité·es à mener via de courtes vidéos une réflexion liminaire sur ce qu’est la prison et les problèmes inhérents à sa concrétisation belge. Le coeur de la visite sera l’écoute individuelle des témoignages audio de familles et proches de détenus. Ces témoignages permettront aux visiteurs et visiteuses de comprendre l’impact pernicieux de la prison dans leur quotidien.
Pensez à prendre votre téléphone et des écouteurs !

Visite en groupe (scolaire ou associatif)
Les groupes allant de 5 à une vingtaine de personnes sont invités à réserver une plage horaire en cliquant ici.
Les groupes auront l’opportunité d’être accompagnés tout au long du parcours par une animatrice de la Ligue des familles qui pourra répondre à leurs questions. Via un parcours liminaire, les groupes seront invités à avoir une réflexion sur le(s) rôle(s) de la prison et les problématiques rencontrées par les différentes acteurs du milieu carcéral : déténu-es, agent-es, assistant-es social,… Le coeur de la visite sera l’écoute collective des témoignages audio des familles et proches de détenu·e·s et les échanges qui en découleront.

Il était une fois une ligne, un rond et un triangle. Par magie, les voici en vie, comme sortis d’un dessin. Ils se matérialisent en trois dimensions et se retrouvent face à la découverte d’eux-mêmes et de leurs sensations. Alors la scène devient un petit monde à part dans lequel trois formes font connaissance en explorant leur univers tactile, jouant pour l’explorer et l’explorant pour jouer. Un terrain d’expérimentation où la parole est donnée aux corps et où les codes s’inventent. Jouer ensemble s’apprend et trouver l’équilibre n’est pas toujours facile.

A voir à partir de 3 ans, Cosquillas est un spectacle de théâtre d’objets géants dédié à la force du corps, à la sensualité ludique et au respect des limites de chacun.

Explorer une certaine sensualité tout en interrogeant les limites de chacun et en posant la question de l’intégrité physique et du respect du corps de l’autre, c’est l’approche étonnante, voire osée de Cosquillas. Au-delà de cette évocation de l’intimité, la pièce offre surtout aux plus petits des déclinaisons visuelles hyper ludiques, un trio extraterrestre – un tube, une balle et une pyramide – qui s’éclatent sur un terrain de jeu improbable.
Catherine Makereek, Le Soir

Le Filmystère est un film d’auteur présenté en VOSTFR et sorti en salle durant l’année écoulée, et dont vous ne découvrez le titre qu’une fois assis.e dans la salle.

Le Filmystère vous l’appréciez après une présentation par Michaël, notre Monsieur Cinéma, et vous en discutez avec les autres spectateurs, après la projection, autour du bar et avec une dégustation en lien avec le film.

Et en plus, vous participez à un tirage au sort qui vous permettra peut-être de gagner une entrée gratuite pour un des spectacles du CCLIB.

Alors vous attendez quoi pour réserver votre place ? On vous attend !

Cliquez sur ce lien pour connaître les Filmystères passés.

Durant cet atelier de 2h, les participants confectionnerons un savon (à base de melt and pour, donc pas de saponification à froid) et une bougie avec des plantes, huiles essentielles issues de plantes locales, colorants naturels et divers autres éléments, pour se réchauffer au creux de l’hiver, ou pour offrir comme cadeaux de fin d’année !

Cet atelier est donné par Carole Minker, Docteur en Pharmacie et en Pharmacognosie (la science qui étudie les substances bioactives d’origine naturelle), diplômée en micronutrition et aromathérapie, formée en homéopathie et gemmothérapie, et passionnée depuis toujours par l’alimentation, la nutrition, la santé et les plantes dans leur globalité.

La Traversée, une collection de romans accessibles à tous les adultes, est portée par l’ASBL Lire et Ecrire Luxembourg. Elle a vu le jour à la demande d’apprenants adultes en formation en alphabétisation, en 2010. Ces derniers souhaitaient « des romans qui leur parlent ».

Deux années de réflexion ont été nécessaires avant de voir aboutir le premier roman. Aujourd’hui, 30 romans ont déjà été édités chez Weyrich Edition. Ils sont le fruit d’une co-construction entre des auteurs reconnus en Fédération Wallonie-Bruxelles et des apprenants en alphabétisation.

L’exposition proposée par l’ASBL Lire et Ecrire Luxembourg fera la part belle au processus permettant la création de ces romans, aux histoires contenues dans ces romans, mais aussi au plaisir qu’ils procurent quand on se met à les lire. Elle mettra également en scène des créations littéraires, artistiques (maquettes, dessins, peintures, vidéos…) conçues par les apprenants en formation au départ de la lecture d’un manuscrit ou d’un roman de cette collection.

Tout au long de cette exposition, des animations seront proposées gratuitement : échanges avec des auteurs.trices, apprenants, atelier d’écriture…

Jazz mélodique et lumineux, empreint d’humour et de poésie, naviguant avec joie entre introspection et virtuosité. Aux accents folk/americana avec la guitare électrique de Lorenzo Di Maio, aux sonorités acoustiques grâce à la contrebasse de Boris Schmidt, le saxophone de Sylvain Debaisieux et la batterie de Daniel Jonkers, menés par Martin Salemi au piano et aux compositions, le tout parsemé de quelques touches plus modernes en la présence subtile de claviers et de synthés analogiques. Au piano mais aussi aux synthés et claviers, Martin Salemi explore de nouvelles compositions inscrites dans la tradition moderne du jazz allant de Keith Jarrett à Aaron Parks. Il revisite également quelques morceaux de ses trois précédents albums en trio, qui se voient ici dotés de nouvelles couleurs et adoptent d’autres sonorités. La musique de son nouveau quintet vient du jazz, et emprunte aussi à la chanson, la folk et la world. Elle réserve de belles surprises aux grooves hypnotisants, aux mélodies détaillées et aux atmosphères cinématographiques. Un jazz gorgé de tradition et pourtant très actuel !

Nouvel album : Daylight (IGLOO Records, à paraître le 22.11.2024)

Hein !… Mais c’est pas un titre de spectacle ça ! C’est une interjection, une ponctuation ! Exactement, ce show c’est trois points de suspension. Un moment particulier en apesanteur que le public partage avec Freddy.

Il ne devait pas exister ce spectacle, mais il est apparu comme une turgescence sauvage émerge dans le humus fertile de la spontanéité.
Pendant les périodes compliquées de ces deux dernières années, il a fallu trouver d’autres formes pour se produire sur scène, créer, recréer l’espace scénique. Et ainsi des textes, des situations sont nés de ces nouvelles formes et ont donné naissance à Hein !

C’est du Freddy en toute liberté qui lâche les brides du cheval fougueux de son enthousiasme.

En grand écart, il passe aussi virevoltemment d’une analyse pointue de la conjecture actuelle sans cesse en évolution à la réinterprétation très personnelle des Grands Classiques de la Chanson française.

C’est pas un spectacle à voir, c’est un spectacle à vivre !

Viens te former à l’impro à l’américaine, ici pas d’arbitre mais de courts formats de 30′ où chacun·e prend entièrement part à la création du spectacle (Armando…).
Tu exploreras de nouvelles manières de développer des histoires, de gérer des scènes ancrées, de jouer des group games et tu apprivoiseras de multiples transitions de scène.
Viens ajouter une nouvelle corde à ton arc, développer ton écoute et créer ton propre spectacle !

Ce stage est donné par Mathilde Legrand (sélection national adulte pour la FBIA)

Tout le monde a un talent. Le talent de la petite fille aux tissus c’est l’attention délicate qu’elle porte à une boîte de vieux tissus qui n’intéressent personne. La fillette – elle – touche ces bouts d’étoffes et voyage … Elle communique avec les tissus, comprend leur magie.
Au travers d’une galerie de personnages qui se racontent en chansons, La petite fille aux tissus célèbre la sensibilité et le pouvoir qu’a chacun de partager qui il est.

La petite fille aux tissus est du théâtre musical pour deux interprètes, cinq instruments et huit personnages, à voir à partir de 5 ans.

Ce spectacle est totalement éblouissant. On le doit à un formidable duo, Charlotte Vancoppenolle qui est comédienne et chanteuse, et Aurélie Derdeyn qui est violoncelliste et multi-instrumentiste. Comme elles le disent très bien, c’est du théâtre musical pour enfants et anciens enfants sensibles. Et je dois appartenir à cette 2e catégorie, parce que j’ai été conquise par cette histoire.
(Caroline Veyt, Musiq3)

Après avoir foulé les bancs des cours Florent, à l’issue desquels elle a fait ses armes en radio sur Pure FM (Tipik), à la télé au Grand Cactus, et sur Canal+, Sarah Grosjean présente aujourd’hui son premier seul en scène Glam, lose et gaspacho, qu’elle aurait très bien pu appeler : « Paillettes, échec et paella ».

Un concentré d’absurde, de personnages et une ode à la flemme.

Un beau programme, mais calmons-nous, commençons d’abord par un petit café…

Après la Seconde Guerre mondiale, les différents chefs de guerre alliés ont affirmé que l’offensive allemande de décembre 1944 dans les Ardennes était une surprise complète pour eux. Ils ont alors évoqué le silence radio total en vigueur chez les Allemands pour justifier la faillite totale de leurs services de renseignement. En réalité, Eisenhower et ses généraux avaient bel et bien envisagé une attaque dans les Ardennes. Cette hypothèse était d’ailleurs prise en compte dans leurs plans pour leur propre offensive qui devait se déclencher peu après la mi-décembre. Ils pensaient que leurs plans étaient parés à toutes les éventualités. Les archives britanniques révèlent une tout autre réalité. Elles permettent de démontrer que les Alliés ont fait un pari qui a mal tourné. Ils avaient tendu un piège à renard, et voilà qu’un ours s’est pris dedans.

C’est l’histoire d’Odette. Une petite fille dont l’enfance a été volée par un « ami de la famille ». Une jeune fille qui cherche des réponses à ses questions et les trouve progressivement avec son corps.
Une danseuse qui se bat avec sa sensibilité.
Quand les mots ne suffisent plus, la danse est son moyen de survie.

Créé en 2014 au Théâtre du Chêne Noir à Avignon, Les Chatouilles ou la danse de la colère a été depuis couronné de succès : Prix « Jeune talent théâtre » de la SACD, Prix de l’interprétation féminine du Festival d’Avignon, Molière 2016 du Seul(e) en scène et lauréat du Prix du jeune théâtre de l’Académie française en 2016.
Adapté au cinéma, Les Chatouilles ou la danse de la colère a été consacré par 2 Césars (meilleure adaptation et meilleur second rôle féminin – Karin Viard).
Sublime interprète de cette confession poignante, émouvante, parfois drôle, Andréa Bescond interprète vous emmène dans un grand huit émotionnel.
Un seule en scène nécessaire et toujours d’actualité.

Les Chatouilles est un spectacle sur la pédophilie, qui a l’élégance d’être drôle. (…)
Andréa Bescond est l’auteure et l’interprète de ce texte. Elle connaît l’histoire d’Odette. C’est la sienne. Une histoire qu’il lui a fallu, à un moment, coucher sur le papier. C’est ainsi que cette danseuse a mûri, patiemment, une performance à mi-chemin entre le jeu et la chorégraphie. (…)
L’actrice use de son corps comme d’un partenaire pour faire naître la cohorte des témoins : Gilbert, sa prof de danse, un ami, sa psychologue, sa mère. Passant de rôle en rôle avec une aisance confondante, elle se métamorphose en deux temps, trois mouvements. (…)
 Même si elle n’a pas la « prétention d’incarner une cause », [André Bescond] a compris en jouant combien la pédophilie est un mal répandu. En témoigne le nombre de ceux qui viennent la remercier. Alors, pourquoi ? Parce que ce spectacle fait du bien aux victimes et qu’il donne de l’espoir.
Joëlle Cayot, Télérama

Comment faire pour gérer stress, fatigue et connexion permanente (aux autres et aux écrans) qui font notre quotidien ? Comment apprivoiser notre perfectionnisme qui certes nous donne envie de bien faire mais qui peut aussi nous mener à l’épuisement ?
Cette conférence vise à vous faire découvrir des stratégies pratiques pour alléger votre charge mentale, sortir des pièges du perfectionnisme, apprendre à vous déconnecter des écrans et développer des outils personnels pour mieux gérer le stress. Reprenez les rênes de votre vie en alliant bien-être mental, maîtrise de sa consommation digitale et équilibre intérieur. Un beau programme !

Se libérer des écrans : une nouvelle quête : critique de « Je me libère des écrans » de Caroline Depudt, Le Soir, 28-29 septembre 2024

D’où viennent ces drôles de personnages ? Que viennent-ils faire avec leurs planches ? Un voyage atypique ? Une quête de l’équilibre ?
Ils traficotent leurs bouts de bois; jouent dessus, dessous ou dedans. Ils créent des constructions éphémères, terrains de jeux propices à leur univers fantaisiste et poétique.

Klap Klap est un spectacle pour les enfants à voir à partir de 2,5 ans.
C’est un voyage sensoriel vers une quête d’équilibre.
C’est un récit sur le fait de construire et se construire…

La finalité du spectacle s’avance peu à peu vers la construction de ce qui paraîtra comme une habitation. Avant cela surgiront la solidarité, le partage, la ténacité, l’inventivité. Finalement, cette farce se présente comme une métaphore de la vie : seuls des comportements responsables permettent aux humains de vivre ensemble dans un minimum de cohésion.
Michel Voiturier, webtheatre.fr

Voilà qu’un Flamand francophile passe la frontière linguistique pour nous rappeler nos racines communes oubliées.
D’où venons-nous ? Quelles sont nos origines ? Pour répondre à cette question, Bart Van Loo parcourt le Moyen-Âge et nous entraîne de bûchers en banquets, de pestes en tournois, au milieu de grandes figures historiques, de Jeanne d’Arc à Philippe le Bon. Il présente les ducs de Bourgogne comme les pères fondateurs d’un nouvel Etat, les Plats Pays, bref : nous !
Imaginez des champs de bataille à la Game of Thrones. Pensez à Nos Gloires, ce beau livre d’images. Rappelez-vous les cours d’histoire de votre meilleur prof. De l’humour et du suspense. Des anecdotes et du sens. Préparez-vous à un tourbillon d’histoire, de culture et de plaisir. Ce Belge néerlandophone, conteur né, marié à une Française bourguignonne n’hésite pas à mêler son récit personnel à notre histoire collective et à rêver à un avenir possible pour notre pays.

Un seul en scène instructif, rigoureux, drôle, pétillant. Pas une seconde d’ennui. Et indispensable pour qui veut connaître les origines profondes de la Belgique. Un spectacle a déguster par tous les publics. Van Loo fait vivre, survivre, se batailler, se goinfrer, s’aimer se disputer, se tromper tous les personnages romanesques de l’époque.  (Francis van de Woestyne, La Libre Belgique)

Les Téméraires fait partie de notre circuit Le monde… comme il va (4 spectacles pour 79 €)

À l’initiative du service ASSILUx (Association Socialiste pour la Santé et l’Inclusion en Luxembourg), plusieurs classes de 6e primaires se sont lancées dans la création d’œuvres artistiques collectives sur les thématiques de l’inclusion et de la différence. Un vaste sujet, très inspirant pour les jeunes et qui mérite qu’on lui fasse de la place au sein de nos réflexions et de nos pratiques artistiques.

L’exposition présente les œuvres des élèves et leurs interprétations du sujet dans différentes disciplines : dessin, sculpture, peinture, collage… Un concours est à la clé pour déterminer la création qui sort du lot et ainsi offrir aux élèves de la classe lauréate l’occasion d’une sortie éducative.

N’hésitez pas à passer la porte affn de venir admirer leurs créations et voter pour votre oeuvre préférée !
(Le vote est possible sur la page Facebook d’ASSILux également).

Avec le pianiste Valentijn Elsen, Jasper Steverlinck a donné des centaines de concerts avec l’album Night Prayer et a brillé dans la version XL de luxe de Liefde Voor Muziek.

Avec l’approche du nouvel album The Healing et une multitude de nouvelles chansons, il est temps d’organiser un nouveau spectacle. Les mois suivants ont été consacrés à des répétitions intensives avec un répertoire nouveau et ancien, ainsi que quelques surprises.

Sa voix unique, puissante et émotionnelle fait de chaque représentation une expérience profondément chaleureuse !

Plongez au cœur d’un sujet aussi tabou que libératoire !
Cette présentation explore l’emprise du patriarcat sur le corps des femmes. Depuis des siècles, le système de domination masculine encadre et limite la sexualité féminine pour mieux la contrôler. Aujourd’hui encore, malgré les luttes féministes et la libération sexuelle, les femmes continuent de servir le plaisir masculin, sacrifient leurs propres désirs et ne sont pas pleinement heureuses au lit. Bien au contraire, elles sont trop souvent insatisfaites, peuvent stresser, s’ennuyer, ne pas jouir, perdre le désir, avoir peur… Pourtant leurs potentialités sexuelles sont grandes. Très grandes. En les découvrant et en prenant leur vie intime en main, les femmes peuvent non seulement s’épanouir sensuellement mais aussi s’affirmer personnellement et vivre des relations plus égalitaires. Alors, prêt(e)s à briser les chaînes et à découvrir votre fonctionnement érotique ?
Rejoignez-nous pour un débat informatif, vivant et inspirant, qui remet en question bien des idées reçues et ouvre la voie à une sensualité assumée et affirmée.

Le patriarcat a tout fait pour contrôler  la sexualité féminine : interview de Joëlle Smets, Le Soir, 16 juillet 2024

Nous préparerons un gel douche, un sel ou sucre de bain et un baume à lèvres « maison » à base de plantes, macérâts et huiles essentielles issus de plantes locales, afin de prendre soin de soi, de sa santé et de sa peau au naturel. Ces soins seront personnalisés selon vos besoins du moment.

Cet atelier est donné par Carole Minker, Docteur en Pharmacie et en Pharmacognosie (la science qui étudie les substances bioactives d’origine naturelle), diplômée en micronutrition et aromathérapie, formée en homéopathie et gemmothérapie, et passionnée depuis toujours par l’alimentation, la nutrition, la santé et les plantes dans leur globalité.

Seul habitant de la Lune, Jean s’ennuie un peu. Perché là-haut dans le ciel, il aimerait descendre sur la Terre pour s’amuser avec les humains. Soudain, une comète qui passait par là le frôle. Sans hésiter, Jean s’y accroche et atterrit sur notre planète. Mais sa venue déclenche la panique et bien vite soldats et policiers sont envoyés pour l’attraper et le jeter au cachot.
Séduite par la poésie et l’optimisme d’un personnage enfantin qui pose un regard résolument optimiste sur une société totalitaire, la Compagnie Dérivation signe une adaptation théâtrale de l’album pour la jeunesse de Tomi Ungerer afin de questionner la nécessaire désobéissance aux ordres absurdes.
Les enfants à partir de 4 ans sont invités à poser un regard personnel sur le monde qui nous entoure et à s’ouvrir à l’inconnu en suivant les aventures du doux extraterrestre Jean de la Lune.

Avec l’énergie et le pétillant qu’on lui connait, la Compagnie Dérivation met en scène une version décoiffante et attachante de cette fable sur l’indispensable désobéissance face aux ordres absurdes.
Théâtre de la Montagne Magique

C’est en cherchant un bassiste pour son précédent projet, Songs of Old, qu’Emily a croisé le chemin de Boris. De cette première collaboration est née une grande complicité musicale et humaine. Treehouse Days est né en 2022 de cette recherche d’espace, d’authenticité, et de complémentarité entre la voix et la contrebasse.

Treehouse Days explore la relation espiègle entre la voix d’Emily Allison et la contrebasse de Boris Schmidt et regarde le monde à travers les yeux des êtres vivants et objets qui nous côtoient au quotidien. Que vivent les arbres aux côtés des humains depuis la nuit des temps ? Quelles rencontres étonnantes un banc public fait-il chaque jour ? Que ressent un bébé au moment de son arrivée dans un nouveau monde ? Les textes sur mesure viennent habiller les compositions d’Emily Allison et de Boris Schmidt, et cotôient quelques chansons connues et réinventées, le tout dans un style que l’on pourrait qualifier de jazz-folk indie. Un échange intimiste au parfum de l’époque insouciante des cabanes dans les arbres.

Après une première édition plus que réussie où vous avez été près de 2.000 à venir voir ou revoir ou découvrir ou redécouvrir les pièces des troupes de théâtre amateur, nous remettons le couvert en 2025 !

A l’heure actuelle, le programme est toujours en cours de confection, mais bloquer déjà dans votre agenda que la première quinzaine du mois d’avril 2025 vibrera aux éclats de rire provoqués par nos talentueux acteurs amateurs. Un programme qui sera étoffé avec de nouvelles troupes et de nouvelles idées.

Si vous souhaitez être tenu.e au courant de l’ouverture de la billetterie, inscrivez-vous sur la liste d’attente en cliquant ici.

Attention, les dates sont notées à titre indicatif.

Macondo, c’est avant tout une rencontre : celle du saxophoniste belge Sylvain Debaisieux et du batteur béninois Angelo Moustapha. Ils se croisent pendant le confinement, lors de sessions improvisées dans les rues de Watermael-Boitsfort. La connexion musicale est immédiate : très vite, ils partagent la richesse de leurs parcours respectifs, s’échangent des morceaux, apprennent à connaître la musique de l’autre, dans un respect mutuel et une amitié grandissante au fil des mois. Après des concerts en duo, ils s’entourent du contrebassiste Federico Stocchi pour enregistrer leur premier EP Macondo, sorti en décembre 2022.

Macondo Trio présente une musique originale et personnelle, mêlant compositions et cantiques réinterprétés. L’esprit du jazz et la place à l’improvisation sont bien présents, ce qui rend la musique fraîche, accessible, et à chaque fois pleine de surprises. Le son du trio saxophone-basse-batterie poursuit une tradition qui a marqué ses preuves au fil des époques et laisse de la place à chaque musicien pour s’exprimer. Le Trio entraîne le public dans un lieu où le temps est relatif, où les cycles s’entremêlent et les mélodies restent ancrées dans les corps et les esprits. Les musiciens s’y retrouvent pour y vivre un moment de partage, de dialogue et de communion. La fusion des énergies se transmet au travers de grooves envoûtants, de motifs répétitifs et d’improvisations débridées. L’histoire se répète, n’est jamais la même

Le célèbre Maréchal Rommel est passé deux fois dans nos contrées. Une première fois en Gaume en 1914, une seconde fois dans le nord des Ardennes en mai 1940. Qui était vraiment ce général pratiquement sanctifié après guerre ? Comment se battait-il ? Était-il aussi chevaleresque qu’on le prétendait ? Les dernières recherches à son sujet permettent de dresser un autre portrait du personnage : chef de guerre implacable et nazi carriériste. Chef d’une division blindée en 1940, il est le premier à atteindre les rives de la Meuse. Retour sur ce trajet impétueux à la tête de ses Panzer à travers nos Ardennes.

in petto (interno), spectacle absurde et tragicomique à voir à partir de 5 ans, raconte les vies bancales de deux clowns musiciens errants.
Ces clowns musiciens souhaitent présenter leurs morceaux de musique au public, aussi malmenés qu’ils soient par leurs maladresses, leur environnement ou leurs accessoires désarticulés. La charrette qui les abrite, à la fois logis, loge et promontoire, est en équilibre instable sur l’axe unique de ses deux roues. Elle bascule sans cesse, les balance d’un côté à l’autre, elle les fauche, les expulse et les tourmente. Ils y grimpent, se servant d’un escalier bancal fait de leurs valises amoncelées.
Les musiciens célestes sauveront le spectacle en jouant bon gré mal gré leur valse délicate, pour deux ukulélés. Ils trouvent, là, dans un moment suspendu, un compromis, un équilibre précaire, une solution salutaire qui leur permet de poursuivre la route, le chemin de leur vie.

On a retrouvé le talent de la compagnie Okidok, leurs acrobaties loufoques, leur langage corporel, l’ukulélé, les mimes, leurs improvisations et leurs maladresses clownesques. Une folie singulière qui séduit toujours et qui emmène le public.
Le Soir

Dans un lieu ordinaire qui se révèle extraordinaire, Kit’chen explore le purgatoire à travers une cuisine, où chaque porte de placard renferme des moments clés de la vie humaine. Ce sanctuaire domestique devient un théâtre des sept péchés capitaux, révélant nos faiblesses, nos tentations, et les masques que nous portons pour cacher nos imperfections.
Au centre de cette scène, une âme égarée erre dans cet espace transitionnel, confrontée à un bilan honnête de sa vie.
Chaque placard ouvre une porte sur les péchés et vertus qui ont façonné son parcours, de la gourmandise au désir en passant par l’envie et la colère. Les bruits, les odeurs et les saveurs familières de la cuisine créent un labyrinthe sensoriel où les souvenirs prennent vie et les tentations deviennent tangibles.

La pièce navigue entre poésie et réalité brute, offrant au public une réflexion sincère sur nos relations avec les autres et notre lutte intérieure entre bien et mal. Sans être moralisatrice, Kit’chen invite chacun à retirer le masque de la vie sociale et à regarder son propre reflet dans ce microcosme de la condition humaine

Kit’chen fait partie de notre circuit Le monde comme il va (4 spectacles pour 79 €)

Quand on arrive dans le monde, on n’y connait rien, on doit tout découvrir ! Apprivoiser son corps, se confronter à son image et se construire une identité. Quelle porte faut-il ouvrir, quelle couleur choisir, quel vêtement porter ? Qui veut-on devenir ? Comment se définir sans être rangé.e dans une case ou finir dans un tiroir étriqué ? Et que faire lorsque son propre reflet décide de s’en mêler ?
Tels sont les tiraillements et les interrogations du personnage, une sorte de poupée asexuée qui émerge d’une armoire et découvre qu’elle est vivante. Se confrontant ensuite à son image dans le miroir, celle-ci finira par s’incarner sous forme d’un double en tous points identique, mais dont la volonté s’avèrera être parfois divergente de la sienne. Mais comment faire quand votre reflet ne vous suit pas ? Ou quand votre être semble se séparer en deux entités distinctes ? Les désirs conflictuels internes du protagoniste prendront ainsi vie sur le plateau, le poussant à choisir ou à s’assumer face à la pression sociale.
Un spectacle visuel à voir à partir de 6 ans.

Mime et complicité sont au rendez-vous de ce spectacle visuel qui joue sur les contrastes et le comique à répétition dans un registre clownesque où claquent les portes, où s’ouvrent les tiroirs, où se déploient des bras inattendus au sortir d’une armoire pleine de ressources mais aussi de cravates, de chaussettes dépareillées, de soutiens gorge ou de robes de bal. De quoi se déguiser à l’infini, devenir l’autre et se jouer des apparences pour désarçonner les spectateurs.
Laurence Bertels, La Libre Belgique

Les Joyeux Larrons vous connaissez non ? Depuis près de 10 ans maintenant, notre troupe de théâtre amateur prend plaisir à concevoir une œuvre originale, écrite et mise en scène collectivement. La représentation de juin est l’aboutissement des ateliers hebdomadaires qui se tiennent dès le mois de septembre.

Plus d’infos sur le spectacle à partir de la mi-mars.

Nous réaliserons un mélange de plantes locales destiné à être préparé en infusion et un sirop « maison » à base de plantes locales afin de prendre soin de soi et de sa santé au naturel. Ces soins seront personnalisés selon vos besoins du moment.

Cet atelier est donné par Carole Minker, Docteur en Pharmacie et en Pharmacognosie (la science qui étudie les substances bioactives d’origine naturelle), diplômée en micronutrition et aromathérapie, formée en homéopathie et gemmothérapie, et passionnée depuis toujours par l’alimentation, la nutrition, la santé et les plantes dans leur globalité.

Nous partirons à la découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales lors d’une petite balade en nature, ainsi que des arbres locaux. Nous parlerons de leurs vertus et propriétés, des différents moyens de les conserver et de les transformer, et nous les dégusterons sur place.

Cet atelier est donné par Carole Minker, Docteur en Pharmacie et en Pharmacognosie (la science qui étudie les substances bioactives d’origine naturelle), diplômée en micronutrition et aromathérapie, formée en homéopathie et gemmothérapie, et passionnée depuis toujours par l’alimentation, la nutrition, la santé et les plantes dans leur globalité.